C’est un moyen qui permet d’évaluer l’état du terrain à l’aide d’une loupe-lampe qui grossit une dizaine de fois l’iris en nous permettant de voir un certain nombre de signes et de couleurs. En effet, l’ensemble de notre milieu intérieur se projette dans l’iris de la même manière qu’on le retrouve dans les pieds, etc.
L’iridologie est donc un moyen qui nous permet d’aborder directement le terrain tel qu’il est dans son aspect fonctionnel, là où les procédés d’investigations chimiques des laboratoires ne peuvent rien analyser !
Il s’agit d’une méthode efficace et simple qui permet d’évaluer :
Cela nécessite une connaissance profonde de la biologie, du tissu conjonctif et de l’énergétique.
L’iridologie nous permet de situer les causes profondes des maladies, c’est-à-dire des prédispositions qui sont liées à notre constitution, ce qui est essentiel dans l’enseignement de la bio-naturopathie.
Les prédispositions immédiates concernent l’ensemble des causes physiologiques déclarées et élémentaires à l’origine des problèmes de santé dont souffre une personne. D’une manière générale, c’est :
Elle est donc complémentaire à la pratique de la naturopathie !
Dans l’école, cet enseignement est associé à la connaissance de la toxémie selon l’enseignement de Bernard Jensen, la bioélectronique de L.C. Vincent, les diathèses de Ménétrier et de l’homéopathie, une connaissance profonde du tissu conjonctif et la typologie de Grauvogl.
Je me fonde sur l’enseignement Allemand et Anglais.
Elle est donc indissociable de la naturopathie car elle favorise la connaissance des causes des maladies (causalisme), et de quelles manières évoluent les différentes perturbations du terrain. A travers cela, elle nous permet d’évaluer les diathèses (au centre de la naturopathie).
Elle s’inscrit dans le bilan de santé avec un questionnaire adapté.